Cette première rétrospective du cinéma coréen vous propose 8 films, aux thématiques originales, universelles et visionnaires, représentatives des problématiques sociétales d’aujourd’hui. Du burlesque au drame, du thriller au film plus intimiste, il y en aura pour tout le monde. De 1960 avec le film patrimoine La servante de Kim Ki young à des films plus récents, vous aurez de quoi vibrer, entre rire et réflexion, entre frisson et émotion.
Cette rétrospective du cinéma coréen, organisée avec Le Mans École Coréenne et Le Royal, illustre une partie de l’histoire du pays. Né sous l’occupation japonaise, il a été un symbole de résistance avant d’être contrôlé et censuré. Avec l’arrivée de la démocratie en 1987, le cinéma coréen a gagné en liberté et en ambition, s’affirmant sur la scène internationale grâce à des auteurs majeurs et à une industrie dynamique. Le cinéma coréen, autrefois contraint au silence, parle aujourd’hui au monde entier.
La culture coréenne reflète les aspirations profondes de notre société en quête de repères, et en pleine mutation culturelle. Le cinéma coréen, avec son histoire tourmentée, inspire et suscite une réflexion profonde sur notre propre rapport à la cohésion sociale et nourrit le débat.
Programme :
Le bon, la brute et le cinglé de Kim Jee-Woon – film d’ouverture, avec temps convivial (spécialités coréennes offertes) dans le hall dès 19h
J’ai rencontré le diable de Kim Jee Won
A girl at my door de July Jung
Mademoiselle de Park Chang Wook
Dernier train pour Busan de Yeon Sang Ho – film de clôture
Jiburo de Lee Jung Hyang pour le Jeune public (à partir de 8 ans)
Poetry de Lee Chang-Dong
La servante de Kim Ki-Young
Parasite de Bong-Joon Ho : séance unique le jeudi 2 octobre au cinéma Le Royal MJC Ronceray (409 avenue Félix Geneslay, Le Mans)